Le cabinet FORESTIER AVOCATS se distingue à nouveau en 2018 en se positionnant dans plusieurs domaines.
Il figure ainsi :
– En droit de la presse : dans la catégorie « Excellent » ;
– En droit de l’édition, droit de la musique et droit de la radio : dans la catégorie « Forte Notoriété » ;
– En droit de l’audiovisuel : dans la catégorie « Pratique réputée »
A la tête de son propre cabinet, entièrement féminin, l’avocate a autant d’éclectisme dans ses dossiers que dans ses goûts musicaux hérités de ses parents, de Chopin à Oum Kalsoum.
Interview de Léa Forestier dans l’Ebdo, le nouvel hebdomadaire lancé par l’équipe de la revue XXI.
Par l’Ebdo – semaine du 23 février 2018
Audience peu banale le 25 janvier : la Socfin attaque en diffamation deux ONG, Sherpa et React, mais aussi trois médias, l’Obs, Mediapart et le Point, toujours à propos de plantations africaines et de l’expropriation de villageois aux alentours. L’avocate de Sherpa Léa Forestier plaide alors qu’il «ne s’agit pas de vol de terres au sens pénal du terme, mais d’appropriation, les paysans exprimant une colère légitime de s’être vu déposséder de leurs terres». Le président de l’ONG, William Bourdon, s’en prend parallèlement à un «climat d’intimidation». Le parquet de Paris, représentant de l’accusation, requiert leur relaxe, au motif que «la Socfin et Bolloré sont des puissances économiques qui doivent accepter la critique ou de voir leurs actions remises en cause». On ne saurait dire mieux. En plus des ONG ciblées, un collectif de médias a signé une pétition intitulée «On ne nous fera pas taire». A la justice française de s’extraire de ce bourbier procédural.
Vendredi, la défense des médias, Le Point, L’Obs et Mediapart, ainsi que des ONG Sherpa et ReAct ont remporté une bataille décisive. La magistrate représentant l’accusation a demandé la relaxe au bénéfice des journalistes et des ONG. Les prévenus, a-t-elle rappelé, se sont contentés de relayer les revendications des paysans sur une base suffisante. Ils ne leur revenaient donc pas d’apporter la preuve qu’il y avait eu « accaparement » mais de prouver leur « bonne foi » lorsqu’ils s’étaient fait écho de cette accusation. Un classique du droit de la presse qui conduit souvent à relaxer les journalistes devant la 17ème chambre correctionnelle.
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Des sociétés de journalistes (dont celle du Monde), des journalistes et des organisations non gouvernementales (ONG) dénoncent, dans une tribune publiée mercredi 24 janvier, les poursuites systématiques dont ils font l’objet quand ils s’intéressent aux activités du groupe Bolloré, notamment en Afrique.
La publication de cette tribune survient alors que doit avoir lieu, ce jeudi, un procès qui oppose trois publications (Mediapart, L’Obs, Le Point) et deux ONG (Sherpa et ReAct) à la holding luxembourgeoise Socfin. Cette société, propriétaire de plantations en Afrique et en Asie, dont le groupe Bolloré détient un peu plus de 38 % du capital, les accuse de diffamation.
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Quoi de neuf dans le milieu du cinéma français, un bon mois après l’affaire Weinstein et le mouvement «Balance ton porc» ? Quelles réflexions ? Quelles prises de conscience ? Force est de constater qu’à part Léa Seydoux, peu d’actrices ont dénoncé publiquement le sexisme qui y règne. Est-ce une bonne nouvelle ? Le signe que tout va bien ? Ou que dans un pays où la politique des auteurs demeure – et c’est tant mieux -, l’omerta est plus lourde ici qu’ailleurs, et les révélations plus difficiles à assumer ? Retour avec Isabelle Adjani et Léa Forestier, avocate.
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LeFigaro.fr – 13/10/2017
Les salariés de GE Hydro/Alstom de Grenoble, menacés par un vaste plan social, ont demandé vendredi soir « solennellement » au ministère de l’Économie de rendre publics les documents prouvant la sauvegarde de l’emploi « dont il se prévaut ».
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Lemonde.fr – 12/10/2017
Les syndicats de la coentreprise entre Alstom et General Electric, GE Hydro, ne veulent pas faire les frais du rachat du français par Siemens.
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